Ce chemin de croix n'est pas comme les autres, il invite à mettre nos pas dans ceux de Jésus, à travers les belles images du Linceul et les textes de Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte Face. Le Linceul de Turin se révèle être un linge archéologique mais aussi : "la relique la plus splendide de la Passion et de la Résurrection de Jésus". Jean-Paul II.

L'examen minutieux des empreintes du Linceul, éclairé par les travaux des spécialistes de l'Evangile, les découvertes de la science, de l'histoire et de l'archéologie, nous montre que Celui qui y fut déposé il y a environ 2000 ans était bien un homme crucifié, sous l'occupation romaine, d'environ une trentaine d'années. Plus encore nous savons, qu'il fut flagellé, que sa tête fut douloureusement ensanglantée par une couronne d'épines, qu'Il a porté une poutre sur ses épaules, qu'Il a été cloué sur une croix et que, contrairement aux coutumes, ses jambes n'ont pas été brisées. Le Linceul montre qu'après sa mort son côté droit fut transpercé d'un coup de lance laissant jaillir de l'eau et du sang.

Le Linceul nous apporte des éléments nouveaux sur la Passion de Jésus et nous fait méditer sur ses souffrances, sa mort et sa Résurrection "comme à la lumière des évangiles".

La vue de ces blessures, et de ces tâches de sang laissées sur le linge nous rappelle cette scène émouvante de l'Evangile où Jésus Ressuscité apparaît à Thomas pour confirmer sa foi et lui faire toucher les plaies de ses mains et de son côté. Thomas reconnaît alors Jésus, et dans l'éblouissement du Réssuscité, il s'écrit : "Mon Seigneur et mon Dieu".

 

"Ô Face Adorable de Jésus,

seule beauté qui ravit mon coeur,

daigne imprimer en moi ta Divine Ressemblance".

Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus et de la Sainte Face, Prière 16